HTML6 La Vie en France !: Les grands hommes sur les billets français
Le château de Chambord est un château français situé dans la commune de Chambord, le département de Loir-et-Cher et la région Centre. Construit au cœur du plus grand parc forestier clos d’Europe (environ 50 km² ceint par un mur de 32 km de long), il s'agit du plus vaste des châteaux de la Loire. Il bénéficie d'un jardin d'agrément et d'un parc de chasse classés Monuments Notre-Dame de Paris, ou Notre-Dame, est la cathédrale de l’archidiocèse catholique de Paris. Elle est située à l’extrémité est de l’île de la Cité, dans le quatrième arrondissement de Paris. Sa façade occidentale domine le parvis Notre-Dame - place Jean-Paul-II La tour Eiffel est une tour de fer puddlé de 324 mètres de hauteuro située à Paris, à l’extrémité nord-ouest du parc du Champ-de-Mars, en bordure de la Seine. Construite par Gustave Eiffel et ses collaborateurs pour l’Exposition universelle de Paris de 1889, et initialement nommée « tour de 300 mètres » Le musée du Louvre est le plus grand musée de Paris par sa surface de 210 000 m2 dont 60 600 consacrés aux expositions et le fait qu'il est l'un des plus importants du monde. Situé au cœur de la ville, entre la rive droite de la Seine et la rue de Rivoli, dans le Ier arrondissement, le bâtiment est un ancien palais royal, le palais du Louvre. Le Puy du Fou est un parc de loisirs à thématique historique. Il est en 2011 le quatrième parc à thème en France par sa fréquentation annuelle1. C'est également le lieu d'un spectacle nocturne retraçant l'histoire de la Vendée à travers le destin d'une famille. Le Parc Astérix est un complexe comprenant un parc à thèmes et un hôtel. Le parc à thème est consacré à l’univers de la bande dessinée d'Uderzo et Goscinny : Astérix. Il est situé à une trentaine de kilomètres de Paris. Le Futuroscope est un parc à thèmes dont les attractions sont basées sur le multimédia et des techniques cinématographiques, audiovisuelles et robotiques innovantes.
- -


Les grands hommes


L'utilisation de figures historiques prises dans le panthéon national pour illustrer les billets de la banque de France est relativement récente. La première coupure comportant une telle illustration fut créée pendant la première guerre mondiale : c'est le billet de 20 francs à l'effigie de Bayard qui, par le choix même du personnage, se rattache au thème patriotique des billets de cette période. Par la suite, les portraits d'Ampère et de Pasteur apparaissent au verso du billet de 1000 francs "Cérès et Mercure" créé en 1927 dont la thématique relève davantage des séries allégoriques.
Si l'on met à part ces deux créations plus anciennes, ce n'est qu'à partir de 1940 que des portraits d'hommes célèbres viennent occuper une place significative sur les billets français. De cette date jusqu'à nos jours, ce sont 24 personnalités qui viendront orner ces billets. Sur ce total, 19 se rattachent au monde des arts et des sciences contre seulement 5 figures d'hommes d'Etat.

Dans une coupure mise en circulation en 1940, Sully inaugure les représentations de célébrités. Il est suivi par Jacques Coeur puis Descartes. Sur ces productions qui datent de la seconde guerre mondiale, le personnage choisi ne figure que sur l'une des faces du billet, l'autre face présentant une illustration plus allégorique.

Ces billets disparaissent à la libération, lors du retrait de 1945. Chateaubriand et Le Verrier leur succèdent dans les années suivantes.

Une nouvelle série émise dans les années 1950 assure le passage au nouveau franc. Elle fait appel à Richelieu, Victor Hugo, Bonaparte et Henri IV. Molière les accompagne en 1960.

A partir de 1963, l'appellation franc revient à la place de nouveau franc et la Banque de France remplace progressivement les anciennes coupures. Les gens de lettres y sont largement représentés : Voltaire, Racine, Corneille et finalement Pascal en 1968.

Seul Pasteur vient rompre cette unité en remplaçant Victor Hugo sur les coupures de 5 francs. Mais son passage sera relativement bref, le développement de l'usage de la pièce de même valeur faciale conduira au retrait définitif de ce billet en 1972.

Comme pour compenser la suprématie littéraire des années 1960, la décennie suivante voit introduire la peinture, avec Quentin La Tour et Delacroix, et la musique, avec Berlioz et Debussy.

Il faut attendre le billet de 200 francs "Montesquieu" pour revoir un homme de lettres dans l'avant-dernière série des billets de la Banque de France.

Un partage équilibré entre représentants des arts et des sciences et techniques caractérise la dernière série de coupures libellées en francs émises par la Banque de France.
Le choix d'un même artiste, Roger Pfund, assure la cohérence d'ensemble des quatre billets de cette gamme. Ceux-ci affichent résolument une volonté de modernité, tant par le choix des thèmes illustrés que par le graphisme et la vivacité des couleurs. La modernité est également présente sur le plan technique puisque la réalisation de ces billets a bénéficié de l'utilisation du système Adagio, procédé de conception graphique assistée par ordinateur pour la gravure des billets. Enfin ces coupures présentent un ensemble de signes de sécurité positionnés selon une structure commune qui facilite leur repérage.

Leave a Reply